Petite et facile de culture, le calendula se prête à des recettes simplissimes pour les peaux fragiles.
Désigné autrefois comme le « safran des pauvres », il a longtemps servi de teinture et de condiment. Au Moyen Âge, il faisait partie des plantes listées dans le capitulaire de Villis, un texte remontant à l’époque de Charlemagne et recommandant sa culture dans les jardins des monastères. La couleur solaire de cette belle fleur révèle la présence de caroténoïdes, pouvant se transformer en vitamine A, et de flavonoïdes. Que ce soit par voie orale ou locale, le calendula offre des propriétés thérapeutiques très diverses. Il est à la fois anti-inflammatoire, antiœdémateux, anti-infectieux et antioxydant. Pour les soins cutanés, on utilise un macérât huileux (voir préparation ci-dessous). Cette plante « anti » par excellence se cultive facilement : elle aime le soleil! Il est donc intéressant de l’avoir toujours sous la main, sur son balcon ou dans son jardin.
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